Portrait de Julien Dubois, chargé d’affaires chez Techniven
Changer de cap professionnel, c’est parfois une question de timing. Pour Julien Dubois, c’est aussi une affaire de rencontres, d’opportunités… et de fidélité à ses racines. Après quelques années dans l’immobilier en région parisienne, il part dans le Sud de la France, où il envisage de reprendre une agence. Mais le projet ne lui correspond pas. « Surtout, j’avais envie de revenir en région parisienne, là où vivent ma famille, mes amis. »
Une piste s’ouvre alors. Sa mère, qui travaille à l’administration des ventes chez Techniven, l’informe qu’un poste de commercial va se libérer, suite à un départ à la retraite. « J’ai réfléchi… et j’ai passé un entretien. Je connaissais déjà un peu l’entreprise, j’y avais travaillé pendant mes études, l’été. C’est une belle boîte, bien implantée, avec une excellente réputation dans la région. » Julien y voit aussi une occasion de découvrir un secteur qui l’attire depuis longtemps : celui du bâtiment. Un domaine technique, exigeant, mais dans lequel il peut mettre à profit son savoir-faire commercial. Et un environnement dans lequel évoluent déjà bon nombre de ses proches. Il intègre l’équipe de Techniven en 2023 comme chargé d’affaires.
Un métier complet, au plus près du client
Son quotidien ? Multitâche, à l’image de la diversité des projets. « Je suis les projets de A à Z, depuis le premier contact jusqu’au suivi après la pose : rendez-vous, prises de mesure, établissement du devis, commande, lien avec l’ADV pour le suivi de production et si besoin le SAV. C’est un métier complet, où il faut être rigoureux, organisé, mais aussi très à l’écoute. »
Ce qui l’anime, c’est avant tout le lien avec les clients. « Souvent, ce sont les mêmes qui me rappellent pour de nouveaux projets. Il y a une vraie relation de confiance qui se crée. » Une fidélité que Julien attribue à l’image de marque de Techniven autant qu’à l’engagement des équipes : « La semaine dernière, un client m’a contacté après avoir eu mon nom par bouche-à-oreille pour un chantier à la gare du Nord. C’est gratifiant. »
Le sens de la solution avant tout
Le métier demande un vrai sens de l’adaptation, car les projets ne sont jamais tout à fait les mêmes. « Le store, c’est un produit technique, avec beaucoup de références, d’usages différents. Trop de lumière ? Trop de chaleur ? Besoin d’une projection ? Il faut comprendre le besoin du client pour proposer la bonne solution. Et parfois, ce qu’il demande n’est pas possible tel quel : à nous de trouver une alternative. »
Une approche qui correspond bien à sa vision du métier. « Le bon commercial, ce n’est pas celui qui sait se vendre, mais celui qui sait vendre, en se mettant à la place du client. » Un travail d’équipe aussi, en lien constant avec l’ADV et les ateliers : « Chez Techniven, on est tous dans le même bateau, on avance ensemble, dans la même direction ! »
Respirer entre deux projets
Si la pression fait partie du métier — « une pression positive ! » — Julien sait aussi se ménager des moments pour souffler. Sportif, il a longtemps pratiqué le foot et le rugby, jusqu’aux championnats de France universitaires pendant ses études de sport. Aujourd’hui, il préfère les plaisirs plus tranquilles de la pétanque, en club à Gagny, sa ville. Ou encore, les virées à moto à la découverte de belles régions.
« La forêt de Fontainebleau, Deauville… Cela permet de m’évader, de me vider la tête. » S’il garde toujours un œil sur ses chantiers, Julien a trouvé chez Techniven un bon équilibre !